Chevalier D'émeraude
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 L'alvéole d'Azür

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AuteurMessage
Azür
Chambellan de Denetros et Maître des dragons
Azür


Nombre de messages : 8
Date d'inscription : 29/04/2007

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MessageSujet: L'alvéole d'Azür   L'alvéole d'Azür Icon_minitimeVen 4 Mai - 14:59

- Le noir, le noir à perte de vue. Le noir est signe de douleur, de souffrance, d’horreur et de peur. La plus part des personnes craignent la noirceur pour ce qu’elle est et pour ce qu’elle représente. À quoi bon avoir peur du noir pour ce qu’elle est ? Elle est peut-être cause de douleur, souffrance et peur, mais malgré cela, pourquoi en avoir peur ?...

Fit une voix rauque. Malgré cette voix volumineuse, on pouvait sentir une certaine délicatesse avec une petite sonorité harmonieuse. La voix, qui avait résonné, n’était plus et le silence était revenu. Dans la grande pièce noire on ne voyait rien. Aucune lumière ne semblait exister. L’endroit dégageait une sensation des plus malsaines et des plus ténébreuses. N’ayant aucune porte, aucune fenêtre et aucune lumière, l’endroit semblait digne des plus beaux comptes d’horreurs. Du silence qui régnait, une voix familière se fit entendre, encore une fois. Venant troublé la seule personne qui était dans cette pièce, en excluant Azür.

- La nuit, le noir est digne de beau rêve et de beau souvenir. La dernière fois que je me suis retrouvé dans le noir je me sentais si libéré, si détendu et si embêté de m’ennuyer ainsi. La dernière fois que je me suis retrouvé dans le noir le sang coulait sur moi. Qu’elle douce sensation le sang. Aimeriez-vous savoir ?

Toujours rien. Le noir était toujours le maitre de cet endroit et la jeune Zénorienne, âgée de dix-sept ans, tremblait encore plus sur le lit. La voix aurait été tellement douce dans d’autre circonstance, mais en cet instant, cette voix semblait des plus démoniaque. La voix, qui venait de nul part, aurait put être si belle si l’interlocuteur, qui était toujours inconnu, lui aurait cité de douce parole à l’oreille sous un ciel étoilé. Malheureusement le ciel qui était présent à cet instant était noir et les étoiles n’étaient réellement pas au rendez-vous. La magie d’une voix douce et tendre était bien loin. La Zénorienne, qui regardait a droit et a gauche, s’en trouvé d’où la voix provenait, recula. Elle n’osait pas répondre. Elle voulait tout simplement disparaître et ne pas revenir. Elle recula encore et encore, pour finalement, se coller contre quelque chose de froid et humide. Elle se recula aussitôt, essayant de voir cette chose si froide et si humide, qui n’était rien d’autre qu’un mur.

- Pourquoi toujours bouger ainsi ? Avez-vous peur ?

La Zénorienne arrêta alors de bouger. Elle était observée et elle le savait. Étant complètement perdu et effrayer, elle n’avait pas vraiment pensé que la voix pouvait avoir des yeux. Cette idée lui était complètement sorti de la tête depuis qu’elle c’était réveiller, dans cet endroit pathologique.

- Pourquoi toujours bouger ainsi ? Avez-vous peur ?

Refit la voix inconnue. La jeune femme, qui ne savait plus quoi faire se plia contre elle même et entoure ses pieds repliés de ses bras fin et délicat. La partie ‘’jupe’’ de la robe qu’elle portait tomba vers son bassin, laissant de fine cuisine doré a vue de cette noirceur inconnue, qui se rinça l’œil s’en attendre son reste.

- Je souhaite partir. Je vous en pris laisser-moi partir. Je veux retourner chez moi. Pitié…

La jeune Zénorienne porta alors son regard vers l’endroit où la voix semblait venir. Elle ne vit rien. Pour temps, son cœur, son âme et ses sens lui disaient, non lui criait, qu’il avait quelqu’un et qu’elle était en danger. Elle sentait bien qu’elle n’était pas seul et elle n’aimait réellement pas se sentiment d’in solitude qui régnait en c’est lieux. Sa crainte monta d’un coup flèche lorsque, du noir si sombre, deux yeux mauves se firent voir. La jeune femme avait regardé dans cette direction des centaines de fois s’en rien voir et le fait de voir, maintenant des yeux qui la fixait, la terrorisait de toute part. Elle était dans un endroit inconnu, avec des yeux mauves qui la regardaient, qui n’aura pas eu peur ?. Puis les yeux mauves reprirent, une fois de plus, la parole.

- Pourquoi vous laisserais-je quitté cet endroit si magnifique ? N’êtes-vous pas bien en cet instant ?

- Non. Je ne suis pas bien. Je me sens mal et j’ai peur. Laisser-moi partir

- Je suis désolé, mais votre requête est malheureusement refusée.

La jeune femme senti alors son cœur se fendre en deux et elle ferma les yeux. Sa peur était maintenant bien installée et ne semblait pas vouloir disparaître. Les paroles dites par cette voix inconnue la rendait mal-à-l’aise. Jamais durent sa vie, elle n’avait eu aussi peur quand cet instant si sombre. Une larme, puis deux, puis trois tombèrent de ses yeux bleuâtre, glissèrent sur les joue, parcoururent les lèvres pulpeuses de celle-ci, pour finalement glisser le long de son coup. Lorsqu’elle ouvrit les yeux, elle ne vit plus rien devant elle. Les yeux avaient disparut et la voix aussi. La froideur de la pièce semblait alors moins froide et une chaleur semblait si proche. Elle ne bougea pas, ayant trop peur pour faire un seul mouvement. Son regard se ferma alors en sentant une douce caresse au niveau de son cou. Un frisson parcourra alors son corps sous cette caresse inconnue. Son souffle sembla se couper lorsqu’elle se senti reculer contre quelque chose de chaud. Une main, aussi chaude que le reste, entoura sa taille, donnant une légère pression. La jeune femme tremblait toujours, elle avait peur malgré tout ce qui lui passait par la tête. L’homme, ou la chose, car elle n’avait pas vu l’inconnu, avait beau être chaud cela n’enlevait pas le fait qu’elle avait peur.

- Qu’elle est votre nom ?

Fit alors la voix inconnue. La jeune Zénorienne ouvrit les yeux. Elle regarda devant elle, s’en rien voir. Elle sentait toujours quelque chose dans son cou et elle reconnu le contact d’une peau douce et chaude. Elle reconnu des lèvres. Son cœur, qui avait peur, s’amplifia, laissant place à une peur extrême. Elle était avec un inconnu, dans un endroit inconnu, coller a cet inconnu. Rapidement, elle se décolla, mais n’alla pas bien loin. Une main l’attrapa, la fit tourné et la plaqua durement contre le lit. L’inconnu au corps chaud se colla contre elle et la jeune Zénorienne se senti honteuse et mal. Elle voulu bouger, elle voulu le frapper, mais ses mains furent vite emprisonné dans les mains de l’inconnu, qu’il alla porter au-dessus de la tête de celle-ci. Prisonnière de celui-ci, elle bougea, mais rien. Le contact chaud des lèvres revint dans son cou et ses pleurs doublèrent. La voix redit alors.

- Qu’elle est votre nom ?
- Armyelle

Répondit-elle avec peur. Elle pensait qu’avec un peut de vérité, l’homme, car la voix n’avait rien de féminin, allait surement la relâcher. Malheureusement, se fut tout le contraire de ce qu’elle aurait voulu que sa soit. Aussitôt son nom prononcé, elle senti les mains de l’homme descendre rapidement vers ses hanches pour remonter, encore plus haut, à la partie ‘’jupe’’ de sa robe. La prenant par les hanches, il le fit et refit. La suite fut des plus douloureuses. Sa nuit fut remplie de cri, de douleur, mais aussi d’extase et de chose inconnue. La jeune Armyelle du se laisser aller aux mains de l’homme, qui la frappait lorsqu’elle gémissait de douleur ou lorsqu’elle voulait tout arrêter. Lorsque l’inconnu en eu assez d’elle, il la prit par les hanches et la laissa au sol, nue. Il siffla un insecte, qui entra aussitôt sous l’ordre d’Azür. Celui-ci prit la jeune Armyelle, qui pleurait et qui se tenait l’entre-jambe et la sorti de l’alvéole du maître des dragons.

Azür, qui c’était, pour une rare fois, diverti quelque peut, car habituellement les femmes arrête tous de bouger et participe au débat, se coucha sur le dos. Son corps musclé et vigoureux, qui n’était pas caché par les couvertures, s’étira lorsqu’il alla déposer ses bras en arrière de sa tête. Ses paupières se fermèrent, non pour dormir, mais pour penser. Il pensa à ce qu’il avait à faire, a ce qu’il devrait faire et a ce qu’il ne pouvait pas faire. Il allait devoir aller rendre visite à ses amours, ce qui veut dire ses dragons. Il y avait été il y a deux jours et le temps avait été trop long. Azür devait les voir le plus souvent possible pour garder un lien fidèle entre eux. Il devait leur montrer qu’il l’est aimait et qu’il était avec eux malgré la loyauté qu’il portait envers son Empereur.

Azür se leva finalement, il devait bouger et devait aller se renseigner sur les intentions de son maître. Il se dirigea vers son armoire et l’ouvrit s’en le moindre bruit. Azür détestait le bruit. Il aimait le calme et la tranquillité. Son regard de couleur mauve se posa sur ses habits et il en prit un, au hasard. Il se dirigea, par la suite vers le lit en refermant magiquement l’armoire, pour y déposer ses vêtement qu’il allait bientôt enfiler. Il lâcha la couverture, qui cachait le bas de son corps, au même moment où la jeune Armyelle entra en trompe dans la chambre, les larmes aux yeux. Celle-ci se jeta sur lui, a ses pieds et le supplia de la sauvé. Azür soupira et se débarrassa d’elle assez vite. La lame qui venait de fendre le cœur de la jeune Zénorienne la tua sur le coup. Azür lui prit la tête, l’obligeant à le regardait. Une lumière s’alluma et elle put voir, comme dernière image, l’homme qui l’avait violé et tuer. Azür lui offrit un regard vide d’émotion et la lâcha lorsqu’il fut sûr que la vie l’est quittée. Les gardes vinrent la prendre et repartir aussitôt. Azür put alors s’habiller en paix, s’en bruit, dans un silence total. Une fois vêtu de ses pantalons noirs, d’une chemise simple et d’une toge de mage de couleur noir et mauve, il se dirigea vers la porte. Toujours s’en bruit, il l’ouvrit, sorti et disparut dans les nombreux tunnels d’Irianeth, en route vers le trône.
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