Château [Salle de réception]

[Réception]

Au même moment de l’entré de Zackeriel, dans la grande salle, les lumières baissèrent. D’un coup sec et rapide tous disparut et allèrent a leur place. Zackeriel se dépêcha et alla prendre place au côté de son père. A ses côtés, une place vide…Cette place était pour elle…pour Sitael…*Mais où est-elle?*. Zackeriel soupira et regarda le spectacle de bienvenue. Tous les invités étaient présents. Dans la troupe qui s’offrait a eux, chaque personne prit possession de l’instrument et tous montèrent aux étages différents. La lumière tomba et le noir s’installa. Une femme, qui ne faisait pas le spectacle, porta son pouvoir d’invisibilité à chaque membre du groupe. Les mettant tous invisible et indétectable. Une jeune fillette courra rapidement et alla monter sur le trône, prêt du Roi. Celui-ci avait été assez généreux pour accepte la jeune prêt de lui. Heureusement que les monarques étaient de bon cœur, car le fillette avait a peine trois ans.

De petite luciole apparurent, faisant une petite lumière. Le silence avait tombé sur la salle et personne ne parlait. Les allé était dégagé et le spectacle commença.

Un son de violon, mélanger a celui de la flute se fit entendre. Les flutes semblaient venir de partout. Une première lumière apparut et on put voir les flutistes et les violonistes à la file, contre les murs. La musique, qui était calme, prit rapidement de l’expansion et de la sonorité. Une seconde lumière apparut au milieu de la pièce, où on put voir d’autre violoniste, mais aucun flutiste. La musique baissa alors et tout devint calme. Se fut a se moment que tout recommença d’un son fort et merveilleux, car il y avait aucune fausse note. Zackeriel était réellement émerveillé par le spectacle…Mais le fait de ne pas voir sa belle le rendait quelque peut triste. La musique se calma alors et les musiciens se rangèrent sur les murs, laissant place au danseur. Zackeriel, qui n’avait pas bougé…Attendant et cherchant la jeune femme, fut entrainé, par son père, vers une courtisanes riche.

Étant un homme galant, Zackeriel lui demanda une danse, qu’elle accepta comme une nouille. Zackeriel détestait les filles superficiel…Qui voulait se pensé bonne pour épater la galerie. Le futur monarque soupira et commença a danser avec cette courtisane…qui l’ennuyait plus que tout. Son regard ne se posa jamais sur elle…Trop occuper a scruter les alentour au cas ou la belle femme…Qui ne le laissait pas indifférent, se montre et fait battre, de nouveau, son cœur.

Sitael apparue dans l'ambrasure d'une porte, quelque peu essouflée, elle s'y était arrêtée et parcourait la foule du regard. Elle avait quelque papillons dans le ventre, certe, mais en voyant qu'elle n'était pas, du moins pas trop, car certain la regardèrent l'air amusé non méchament, elle se sentit un peu plus à l'aise. Mordred apparue à ses côtés, ce qui la soulagea, enfin un visage connu, mais allait-il la réprimender?

-Ou étiez-vous donc très chère? lui demanda-t-il d'un ton sympatique. Vous alliez nous manquer et vous faites déjà languir mon fils!

Il lui laissa un breuvage dans une flûte qu'il venait d'attraper au passage sur un plateau, qu'elle accepta gracieusement.

-Si vous le désirez,un siège vous attend, mais je ne craind qu'une petite ait décider de le prendre à votre place. dit-il en désignant
l'enfant.

Ce petit spectacle la fit sourir. Le roi partit faire discution avec d'autres convives. Sitael traversa donc la pièce et quelque nuage de luciole qu'elle egardait passer avec émerveillement, en attrapa une, et se rendit à la fillette de trois ans perchée sur le banc d'honneur. Sitael s'accroupie devant elle et lui tendit ses deux mains refermées. Bien sur elle eut l'attention de la fillette, qui la regardait avec intérêt. Sitael ouvrit les mains, laissant s'échapper l'insecte lumineux, ce qui sembla ravire la petite qui en laissa échappe un cri de joie.

Elle se présenta à la petite Rose, qui en fit tout autant avec elle. La petite avait l'air de bien l'aimer cette nouvelle amie. Après plusieurs frères et soeurs, Sitael savait comment parler aux enfants et s'en faire apprécier. Toute bonne chose ayant une fin, Rose décia qu'elle voulait retourner voir sa maman. Sitael lui fit un aurevoir en lui souriant. Elle avait réussi à en oublier ou elle se trouvait et se sentait beaucoup plus à l'aise déjà.
Elle resta debout, à sirroter dans sa flûte et à se laisser bercer par les airs de musique qui emplissaient la salle. Elle se surprit même à fredonner pendant un court instant à mi-voix, les yeux fermés.

Zackeriel avait finalement posé son regard sur la courtisane, qui venait de lui reprocher de ne jamais la regarder. Il lui fit un sourire forcer et, du a son manque d’attention, il ne vit même pas Sitael passé. Il continua sa dance, avec la femme qui aurait bien laissé là avec une corde autour de la bouche pour ne pas quel parle. *Va-t-elle se la fermer*. Pensa-t-il alors quel recommençait a parler de ses talents et de comment elle voyait la vie. Zackeriel fut alors sauver par son père, qui arriva avec un sourire aux lèvres.

- Laisse-moi cette femme là et va donc la voir
- Elle est ici ?
- Oui
- Mais je ne l’ai pas vu passé ?
- Arrête de posé des questions et va la voir

Zackeriel sourit et lâcha la jeune courtisane pour aller trouver Sitael, qui était quelque part, parmi la foule. La courtisane, qui dansait avec le prince voulu avancer, mais le roi se mit devant elle et disant :

- Il est occupé
- Mais…
- Il est occupé avec sa belle, dit-il d’un ton s’en réplique

La jeune femme lâcha prise et alla se plaindre, secrètement, a son père que le prince l’avait laissé et qu’il avait une douce quelque part. Le père de la courtisane fit bien vite et le raconta à tous. Une fois le message passé, tout les regards regardaient le prince, mais tous continuait leur activité. Zackeriel, qui était plutôt observateur, ne vit rien, trop préoccupé. Lorsqu’il la trouva, il la vit de dos. Zackeriel resta un long moment derrière elle, a la regarder. Elle semblait si calme et si douce. Elle ne se plaignait pas…Ne chialait pas…Et ne se louangeait pas…Trois chose que Zackeriel aimait. Avec un certain courage, il s’approcha d’elle et s’arrêta a un pas…Toujours en arrière.

- Si je proposerais a la plus belle des roses de se jardin, de venir danser avec moi…Croyez-vous qu’elle accepterait mon invitation ?

Dit-il d’une voix douce et charment. Tremblant légèrement, il attendit sa réponse

Elle ne l'avait pas entendu venir, bercée par la musique, mais cette voix virile derrière elle la tira de sa rêverie et se retourna doucement vers son interlocuteur, sa flûte de champagne à la main. Elle sembla surprise au début, puit lui sourit tendrement, les joues lui rosirent quelque peu, du à la métaphore qu'elle sembla saisir. Sitael avait trouver ce ton très attendrissant. Depuis quand pouvait-on éprouver de la gêne devant elle?Elle baissa le regard, quelque peu gênée que quelqu'un, non elle ne se préoccupait plus de son rang, mais avec une telle bonté d'âme et si courtois vint à elle.

- Vous auriez pu le demander à toutes les fleurs du jardin, aucune d'entre elle ne pourrait refuser la visite du soleil. murmura-t-elle, le sourir aux lèvres.

Il lui avait relevé le menton, le regard du même coup. Ce que disait ses yeux ne pouvait être on ne peu plus sincère. Elle déposa son verre sur le premier palteau qui vint à passer et saisie d'une main hésitante, celle qui lui était gallament présenter et se laissa enraîner sur la piste de danse. Elle attira une fois de plus quelques regard curieux. Mais qui pouvait être cette jeune inconnue que le prince semblait avoir en estime? D'ou pouvat-elle bien sortir? D'ailleur, quelques rumeurs commencèrent à se propager puisque personne ne l'avait jamais vue, elle créait des intrigues à son insue.

Zackeriel avait serer les points sous l’effet du stress qui semblait le parcourir dans tout le corps du futur Monarque. Il l’avait rencontré seulement à matin, mais il sentait qu’elle était différente. Elle ne se plaignait jamais, elle parlait jamais d’elle et ne pensait pas au titre. Le prince de Rubis n’était réellement pas indifférent face à elle. Même son titre ne lui faisait rien. Il la regarda se tourner. Elle avait la grâce d’un signe, la beauté d’une déesse et une voix angélique. Le prince, qui était assez proche d’elle, avait réussis a tendre la main pour l’invité a danser. Lorsqu’elle lui répondit, Zackeriel crut qu’un ange s’adressait a lui. Elle avait tellement une belle voix. Lorsqu’elle bougea, Zackeriel ne put faire autrement que la suivre du regard. Lorsqu’elle prit sa main du prince, celui-ci ressenti une grande chaleur le traverser. Il se laissa entraîner vers la piste de dance et ne prit pas conscience des regards, trop préoccupé par sa belle.

D’une main habille et douce, il entoura la taille de sa partenaire et la colla a lui. Son souffle chaud alla se faire ressentir dans le cou de celle-ci. Il la colla totalement a lui et baisa la tête. Les yeux clos, il dansa avec merveille. Il huma, a quelque reprise, le doux parfum de sa belle. Quelque fois, sa main glissait en plein milieu de son dos, voulant toucher sa peau douce. Se rappelant l’endroit où ils étaient, il arrêta et garda ses mains au niveau des hanches…Non du dos. Il les remonta vite, se rappelant qu’une dame non sienne était pas a lui et il ne pouvait la toucher. Il se rappela alors la réponse qu’elle lui avait donnée.

- Mais le soleil n’aurait aucune importance si sa douce fleur n’y était point…Car je crois que le soleil ne souhaite que rayonner seulement sur une fleur…Qui baigne déjà de sa lumière.

Lui murmura-t-il dans le creux de l’oreille. Au même moment, la musique prit fin et Zackeriel prit la main de Sitael pour la conduire. Il l’emporta, avec lui, a leur place. Zackeriel a la gauche du roi et Sitael à la droite du roi, en invité d’honneur. Zackeriel, qui regardait toujours sa douce, fut sorti de sa rêverie lorsqu’une bourgeoise prit la parole. Elle s’approcha, avec une vieille robe…Qui était l’ancienne de Sitael. A haute voix, elle déclara

- Excuse-moi mademoiselle mais tu es pas a la bonne place. La porcherie n’est pas ici…Mais dehors

Zackeriel en était dégouté, comment osait-elle. Le futur monarque ne pus rien faire. Siatel se leva, les larmes aux yeux et disparut, emportant la robe avec elle. Le prince accorda un regard de haine a la jeune femme, se leva, et parti a sa recherche.